Férus de vacances, de sorties sociales et de divertissements au foyer, les Canadiens prévoient dépenser 5 605 $ en moyenne cet été – ce qui s’avérera la saison estivale la plus coûteuse pour 45 pour cent des Canadiens, selon le Sondage BMO 2015 sur les dépenses d’été dont les résultats ont été dévoilés aujourd’hui.
Le sondage de Pollara a révélé les réalités suivantes :
les Canadiens s’attendent à dépenser plus de 2 000 $ en escapades d’un week-end et en vacances plus longues cet été;
les activités de socialisation comptent pour 39 pour cent des dépenses estivales des Canadiens, qui envisagent de dépenser 1 160 $ en sorties sociales et 1 006 $ en divertissements à la maison;
les Albertains devraient dépenser le plus cet été, soit 6 298 $.
« Les journées plus longues de l’été offrent plus d’occasions de s’adonner à des activités agréables, comme les rencontres sociales entre amis et les vacances, et les Canadiens veulent profiter au maximum de chaque minute », a déclaré Nick Mastromarco, directeur général, Paiements de particuliers Amérique du Nord, BMO Banque de Montréal. « Comme plusieurs dépenses prioritaires se trouvent regroupées en une même saison, il est important d’élaborer un budget qui tient compte des projets estivaux, sans perdre de vue les dépenses courantes ».
Le sondage a en outre mis en lumière les facteurs qui influencent l’augmentation des dépenses :
plus du tiers (38 pour cent) disent prendre des vacances mentales en cessant de se préoccuper des questions d’argent en été;
42 pour cent n’ont pas de budget spécifique pour les dépenses d’été;
la moitié (49 pour cent) avoue que, quel qu’en soit le coût, ils veulent pouvoir se dire à la fin de l’été qu’ils ont eu du plaisir; 43 pour cent veulent tirer le maximum de l’été.
« L’été, il est souvent très tentant de vouloir s’amuser maintenant et budgéter plus tard – ce qui peut causer des surprises pour le moins désagréables l’automne venu. Même si le plaisir figure en tête des priorités estivales, un budget peut faire une immense différence dans la prévention des excès de dépenses », rappelle M. Mastromarco.
Les cartes de crédit sont le mode de paiement le plus populaire pour la majorité des dépenses estivales, plus particulièrement pour les vacances à l’extérieur de la ville (61 pour cent), les activités sociales (49 pour cent), les projets pour la maison et le jardin (43 pour cent) et les divertissements (40 pour cent). Seulement 27 pour cent des Canadiens ne règlent aucune dépense estivale avec une carte de crédit.
M. Mastromarco a ajouté que, si elle est utilisée de façon responsable, conjointement avec un programme de récompenses, une carte de crédit est une excellente façon d’obtenir des remises en argent sur des achats qu’on prévoyait faire de toute façon. La nouvelle carte de crédit MasterCard BMO Remises World Elite offre une remise en espèces de 1,75 pour cent sur tous les achats réglés avec la carte, ce qui veut dire que le client reçoit 1,75 $ pour chaque tranche de 100 $ de dépenses – c’est le taux d’intérêt le plus élevé sur le marché – sans limites, sans paliers ni restrictions. Grâce à ce taux d’intérêt élevé unique, le client peut facilement faire le suivi de ses remises dans toutes les catégories de dépenses courantes, comme les achats au détail, les déplacements, l’épicerie et l’essence.
Le Sondage BMO sur les dépenses d’été a été réalisé en ligne par Pollara auprès d’un échantillon de 1 502 adultes canadiens entre le 1er et le 3 juin 2015. La marge d’erreur de ce sondage est de plus ou moins 2,5 pour cent, 19 fois sur 20. Les données ont été pondérées d’après les plus récentes données de recensement, de manière à ce qu’elles soient représentatives des Canadiens adultes.
(Source: communiqué de presse)
