Le ministre de la Justice du Québec promet de faire rembourser les voyages annulés

20 août 2020 – Un média grand public rapporte que le ministre de la Justice du Québec a promis aux voyageurs qu’ils obtiendraient un remboursement pour les vacances annulées en raison du verrouillage des voyages COVID-19.

CTV News à Montréal rapporte que Simon Jolin-Barrette, qui est le ministre de la Justice de la province chargé de la surveillance de l’Office de la protection du consommateur du Québec, a déclaré hier qu’il travaillait sur une solution à grande échelle qui permettra aux consommateurs de récupérer leur argent pour une annulation d’un voyage à la suite de la pandémie. L’histoire est née avec le service de nouvelles par fil La Presse canadienne.

«Je veillerai à ce que les consommateurs québécois ne perdent pas l’argent qu’ils ont payé pour des vacances, en famille ou seuls», a déclaré Jolin-Barrette. «Tous les joueurs devront payer ce qu’ils doivent payer.»

Le débat sur les remboursements par rapport aux crédits de voyage a été l’un des plus gros problèmes auxquels sont confrontés les agents de voyages, les fournisseurs de voyages et les clients alors que l’industrie du voyage navigue dans les eaux inconnues de la pandémie mondiale.

Des milliers de Canadiens ont signé des pétitions demandant au gouvernement fédéral d’exiger des compagnies aériennes et des autres transporteurs sous juridiction fédérale de permettre aux clients dont les voyages ont été annulés en raison de la pandémie du COVID-19 d’obtenir un remboursement.

Il n’y a pas de réponses faciles, disent les agents, qui sont pris au milieu.

Pour la plupart, les compagnies aériennes et les voyagistes du Canada ont tenu fermement à leur décision d’offrir à l’avenir des crédits-voyages au lieu de remboursements, à quelques exceptions près.

Au début de la pandémie, l’Office des transports du Canada a publié une déclaration selon laquelle, dans des circonstances extraordinaires, les crédits sont une alternative acceptable aux remboursements.

La déclaration indique que «bien que toute situation spécifique soumise au CTA sera examinée au fond, le CTA estime que, d’une manière générale, une approche appropriée dans le contexte actuel pourrait être pour les compagnies aériennes de fournir aux passagers concernés des bons ou des crédits pour de futurs voyages. , tant que ces bons ou crédits n’expirent pas dans un délai excessivement court (24 mois seraient considérés comme raisonnables dans la plupart des cas). »

Au cours des derniers mois, les compagnies aériennes, dont Air Canada et Transat, ont rendu leurs crédits transférables et éliminé les dates d’expiration, pour offrir plus de flexibilité.

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